Yangoon
Voyage plus que fatiguant (plus de 18 heures) pour rejoindre en bus la capitale. Cela va nous decider a ecourter notre sejour. En effet, le reste de notre programme demande a nouveau de longs trajets en bus pour peu de repos. Nous reussissons donc a changer nos billlets d’avion en esperant pouvoir profiter des plages thailandaises pour nous accorder un break bien merite. Les distances sot tres importantes dans la ville qui a part la pagode Shwedagon (la plus belle du monde), n’a rien d’exceptionnel (mise a part les yoghourts a la banane ou a l’ananas du cafe Nilars). En plus, les rares squares et espaces verts sont payants, on se contente de bitume et de dioxyde de carbone. Beaucoup de profiteurs ici et l’on doit sans cesse verifier l’addition ou sa monnaie (ce qui ne nous etait pas arrive auparavant). L’arithmetique birmane est assez surprenante quand elle est pratiquee par un serveur peu scrupuleux : Une biere a 700 et un jus de fruit a 800 font … 2000. Il faudra nous y reprendre a plusieurs reprises pour recuperer nos sous. Inutile de preciser qu’il se passera de notre pourboire. L’escapade birmane touche a sa fin, nous l’avons bien apprecie pour l’accueil et le sourire de la population, pour les belles pierres et les beaux paysages, ainsi que pour les experiences plus insolites (comme le Hot Baloon Festival a Taungyi). Nous avons moins apprecie ces birmans qui mastiquent le Betel pour le recracher (un gros molard rouge, et leur sourire sanguinolant, beurk …). Apres discussion avec des francais, il s’avere que cette mixture, qui est consomme comme la feuille de coca, vous defonce comme un joint au canabis (un peu moins pour eux avec l’habitude). Les chauffeurs de bus se shootent toute la nuit avec pour rester eveilles.
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