Database error: [Table 'kaleidoglobe.wp_comments' doesn't exist]
SELECT ID, COUNT( comment_ID ) AS ccount FROM wp_posts LEFT JOIN wp_comments ON ( comment_post_ID = ID AND comment_approved = '1') WHERE post_status = 'publish' AND ID IN (43,23,22,21,20,19,17,16,15,14) GROUP BY ID

Carnets de Voyage » Madagascar

Accueil

Itinéraire

 Carnets de voyage

 Galeries Photos

 Contact

Carnets de Voyage

28/11/2005

L’option Commentaires est enfin active!

Si vous avez des “oh” ou des “ah” a ajouter a nos compte-rendu, n’hesitez pas, restez poli tout de meme car nous sommes tout puissant sur notre site (chacun son territoire) et nous avons le pouvoir de les desactiver. Le meilleur commentaire sera gratifie d’une invitation a deguster les plats du monde que nous avons prefere. Le plus mauvais nous devra une invitation.

5/9/2005

Bonjour Vazaha !

Nous ne pouvions conclure sur notre voyage a Madagascar sans faire une aparte sur l’accueil malgache. Souriants pour la majorite, partour ou nous sommes passes, les malgaches ont accouru vers nous pour nous adresser un salut amical. Normal deux vazah (etranger de couleur blanche) a velo, ce n’est pas commun ! Les plus jeunes, qui n’ont pas encore appris le francais a l’ecole (pour ceux qui ont la chance d’etre scolarise) maitrise quelques expressions dans notre langue. Le bonjour ou salut vazaha est generalement suivi du “Donne-moi". Le “Donne-moi” se decline dans plusieurs versions : “Donne-moi de l’argent, Donne-moi cadeau et Donne-moi bonbons". Nous decernons une mention speciale pour l’originalite de certains : “Donne-moi un cahier, un stylo, une casquette ou le velo". Pour le velo, on a un peu hesite (c’est vrai qu’ils ne nous servaient pas beaucoup a part notre parcours de 3000 kilometres), pour le reste, nous nous contentions de sourire quand nous etions de bonne humeur, nous avons ete par contre excede dans les regions plus touristiques ou le “Donne-moi” atteignait le 120 a l’heure. Mais par principe, nous n’avons jamais rien donne (nous n’avions de toute facon que le minimum vital sur nous pour notre expedition), s’arreter pour donner a des enfants dans la rue, c’est leur enseigner la mendicite, ce qui en definitive est nefaste pour leur developpement.

Classé dans: — Isabelle & Jérôme @ 10:27 am

Tana - La ville aux multiples facettes

Nous avons fini notre periple malgache par la capitale. La ville grouille dans tous les sens, mais elle offre pas mal de possibilites pour la visite de ses marches, son artisanat et ses boutiques de souvenir, ses bolangeries et restaurants, et meme un cinema ou nous avons assiste a une sceance gratuite d’un magnifique chef d’oeuvre d’art et d’essai belge (desole pour nos amis belges, mais ce navet ne venait pas de l’hexagone, pour une fois) ou nous avons rien compris et limite legerement assoupi. La visite de la ville a ete ponctuee par la messe dominicale du pere Pedro, un homme de foi argentin qui oeuvre contre la misere et l’exclusion. Un grand moment ecclesiastique rempli d’emotion (il fallait voir les malgaches chanter et danser …). Une autre visite insolite dans la decharge municipale de la ville qui offre un spectacle surprenant. L’arrivee des bennes a ordure est attendue par la polpulation qui se rue sur les montagnes d’immondices a la recherche de detritus avec un minimum de valeur marchande. C’est un autre visage que celui des magnifiques cartes postales, mais c’est d’abord ca Madagascar, la pauvrete dans le Nord, la misere dans le Sud, et le troisieme pays le plus pauvre au monde. Nous nous sommes tout de meme fait plaisir en nous offrant un massage Dos-Tete et en nous gavant de pains au chocolat, tres bons dans la capitale. Le voyage touche a sa fin, nous avons passe notre derniere nuit d’hotel a proximite de l’aeroport, nous embarquons ce soir apres minuit pour une courte escale a Paris avant de reprendre nos aventures en Inde.

Classé dans: — Isabelle & Jérôme @ 10:18 am

1/9/2005

Ile Sainte-Marie

Sainte-Marie est une ile paradisiaque ou il n’y a rien a faire sinon de profiter de magnifiques plages de cartes postales, cocotiers, sable blanc, barriere de corail. Le paradis ! Nous avons prolonge le sejour et couvert l’integralite de l’ile. Le Nord, plus sauvage, etait deserte par les touristes, le Sud et l’ile aux Nattes fut le lieu le plus touristique que nous avons rencontre a Madagascar. Nous avons rencontre d’autres voyageurs et des malgaches super accueillants, nous garderons un tres bon souvenir de l’ile. Pour finir, l’ile est un lieu de pelerinage des baleines entre juillet et septembre, nous avons donc fait un tour en bateau pour les observer. Le trajet en bateau depuis la cote pour rejoindre Sainte-Marie est perilleux. Un grave accident a fait la une il y a quelques annees … Sur le retour, le bateau a bien eu du mal a franchir la passe (il s’y est repris a 2 fois), aucun bateau n’a pu repasser pendant 2 jours apres notre passage. Inutile de dire que nombre des passagers etaient malades, nous avons de notre cote tenu le coup. Notre voyage a Mada s’achève, les prochaines aventures vous emmeneront en Inde …

Classé dans: — Isabelle & Jérôme @ 5:13 pm

Nosy Varika - Sahasoa

Nous avons pousuivis a velo notre periple depuis Nosy VArika. Les premiers kilometres sont difficles car la route n’existe plus, et seuls des velos et des pietons motives peuvent emprunter cet itineraire. Nous devons passer moultes bascs ou rivieres a l’aide de pirogue. La route est pourtant superbe et nous en gardons un tres bon souvenir. Apres deux jours difficiles, nous retrouvons la route goudronee et nous battons chaque jour des records de vitesse. Tamatave sera une halte hautement gastronomique (nous avons repris un peu de poids), suivi d’un passage a Foulpointe (Cote d’Azur Malgache ou nous avons cotoye des autochtones obeses, et oui ca existe !). Poursuite sur une route difficile et sauvage jusqu’a Sahosoa ou nous avons fait une excursion sur un parc maritime (Nosy Atafana) compose de 3 ilots entourres d’une barriere de corail. La vue aerienne est sublime, on la mettra en ligne en Septembre avec toutes nos autres photos. Retoour par la meme route pour rejoindre l’embarquadere vers Sainte-Marie

Classé dans: — Isabelle & Jérôme @ 5:06 pm

Les transports malgaches

Nous avons experimentes differents modes de transport malgaches. Ils ont pas mal de points communs. Pour les avantages : Faible coût et adaptabilite (On peut embarquer/debarquer n’importe ou, avec n’importe quelle marchandise (capot de voiture, sac de riz, velo …)). Pour les inconvenients : Extreme lenteur, non respect de la ponctualite, incofort et tres bruyant (les malgaches aiment bien causer fort). Nous avons commence notre experimentation par le train en empruntant la ligne ferroviaire de Manakara (Sur la cote Est) a Fiana (Sur les Hauts-Plateaux). Le train s’arretait devant chaque cabane pour charger des bananes. Le voyage a pris toute la journee, nous avons passe plus de temps a charger/decharger qu’a rouler. Voyage tout de meme pittoresque que tout bon touriste a Madagacar doit effectuer une fois dans sa vie. Le lendemain, grande experience de taxi brousse. Nous avions rendez-vous a 7 heures du matin, nous sommes finalement partis a 12 h (apres avoir charger sur la route des passagers supplementaires ainsi que des tonneaux vides (d’essence pas de biere) et apres avoir fait le plein (le moteur allume, c’est plus rigolo). Crevaison a 14 h (le pneu etait deja douteux a notre depart). Pause dejeuner a 15 h, chargements-dechargements, arret vers 17 h 30 chez un ami du chauffeur pour reparer le pneu creve (ca s’est fini a la bougie car la nuit est tombee et le reparateur n’a pas l’electricite ni aucune lampe de poche). Arrivee a 21 H. Le trajet faisait tout de meme un peu moins de 200 km ! Derniere experience, le boat-people pour remonter la Canal des Pangalanes. Sur plus de 200 kilometres, en l’absence de routes terrestres, les malgaches utilisent de petites embarquations pour remonter le canal afin d’acheminer passagers et marchandise. Le trajet dure toute la journee, nous sommes entasses avec 40 autres personnes (toutes malgaches) au milieu des sacs de riz et enfumes par le cuisto du bord qui a chauffe son riz toute la journee (on en a meme pas mange un grain). Journee encore eprouvante. Suite a ces experiences consecutives, nous avons ete tres heureux de remonter sur nos velos, mais ceci fait l’objet d’un prochain article …

Classé dans: — Isabelle & Jérôme @ 5:00 pm

7/8/2005

Fort-Dauphin - Manakara

Fort-Dauphin va etre l’occasion de nous refaire une sante. En effet, la ville etant assez touristique, nous retrouvons le confort (Douche avec eau chaude, matelas digne de ce nom …) et des restaurants a la carte bien garnie. Nous ferons en 3 jours une orgie de poissons, de crabes farcis, de bisque aux fruits de mer … Nous aurons de plus l’occasion de croiser 4 especes de lemuriens. Apres cet intermede a Fort-Dauphin, nous renfourchons nos velos. Premiere journee agreable en remontant la cote, nous nous arretons sur une plage paradisiaque. Etrangement, la moyenne mensuelle de touristes est inferieure a 5 personnes. Vous imaginerez l’isolement et la quietude de cette etape. C’est sur notre terrasse face a la mer que nous degusterons 6 langoustes grillees. La decence m’interdit d’en preciser le cout. La deuxieme etape sera plus difficle. La route est plus accidentee et nous avons 5 bacs a passer (pour certains, il faut etre courageux pour s’y aventurer avec des velos, completement temeraire avec une voiture). Nous devons franchir de nombreux gues les pieds dans l’eau, la journee est harassante. Nous avons cependant la chance d’etre formidablement accueilli dans le seul hotel de Mananetina, ou nous degustons un succulent poisson sauce avec plein de riz et des bananes en dessert. La troisieme etape debute mal, au premier bac, aucun malgache sur les 2 rives ne veut s’extirper de sa sieste. Nous devrons compter sur une pirogue apres trois quart d’heure d’attente pour franchir la riviere. La piste devient de pire en pire, tellement qu’une portion de 40 kilometres n’est plus du tout praticable et pratiquee par les voitures. Nous nous perdrons dans ce No Man’s Land. Nous trouverons cependant de sympathiques piroguiers pour nous remettre sur la bonne route. L’etape est cependant pas realisable dans la journee, nous serons contraints de dormir sous la tente au milieu de nulle part. Nuit tres difficile. Nous repartons aux aurores et nous trouverons enfin des routes roulantes. Le calvaire est termine. Nous roulerons meme sur une veritable ‘autoroute’ ou nous batterons des records de vitesse. Pour la petite histoire, nous avons a ce jour parcouru 1900 kilometres sur nos velos, nous avons retrouve la ligne de nos 20 ans (c’est mieux que n’importe quel regime) et nous avons plus que jamais le moral. Prochaine etape : Remonter le Canal des Pangalanes et rejoindre l’ile Sainte-Marie. A bientot si le Dieu Internet veut bien se presenter a nous.

Classé dans: — Isabelle & Jérôme @ 4:55 pm

Tulear - Fort Dauphin / De Charybde en Sylla

Nous vous avions laisser avant notre grand depart pour les pistes aventureuses du Sud. Nous n’avona pas ete decu du voyage. Notre itineraire a commence par la route des septs lacs, chaudement recommandee par les guides, annoncee comme difficile par les cyclistes. Nous quittons donc la route goudronnee pour quelques 60 kilometres de piste. Apres un debut agreable, nous rencontrons un vieux malgache qui nous annonce plus qu’une petite demi-heure de route. Ce sera la plus longue de toute notre vie car nous ne verrons pas de la journee ces fichus septs lacs. En l’espace de 10 minutes de velo, nous crevons a 3 reprises. De plus, Jerome, pretextant un carctere plus intellectuel que manuel, rechigne a demonter une roue et reparer les chambres a air. Une fois remontee sur nos velos, deja 2 pneus montrent des signes manifestes de faiblesse. Ce jour-ci, nous nous contenterons de regonfler de temps en temps les pneus. Quelques kilometres plus loin, une nouvelle surprise nous attend : Arbres en travers de la route, route effondree, ponts detruits … un cyclone a sevit dans la region cette annee. Depuis quelques mois, plus aucune voiture et plus aucun touriste n’a mis les pieds sur cette damnee route. Notre progression est tres lente et la nuit tombe vite. Nous avons hesite un moment entre s’arreter et monter la tente au milieu de nulle part, ou continuer a avancer dans le noir. Comble de malchance, une seule des lampes de velo fonctionne. Nous reussissons par miracle a trouver notre chemin a l’aide de malgaches quelques peu effares de nous rencontrer dans cette situation. Et la miracle, nous trouvons un abris et 2 litres de coca-cola ! Le lendemain la visite des septs lacs effectuée (pas si extraordinaire apres les effets du cyclone), nous repartons pour 30 kilometres de galere : Meme en marchant avec nos velos, nous allons crever plus de 10 fois, porter les velos sur le dos, le moral n’est pas alors au mieux. Nous finirons les pneus a plat dans le noir enfin sur la route nationale. A partir de la, plus aucune crevaison. Les pistes du Sud roulent finalement plutot bien, il faut de temps en temps pousser les velos dans le sable (l’arrivee sur Beloha apres 5 kilometres de montee dans le sable restera une epreuve penible). Nous retiendrons de ce periple dans le Sud, des paysages arides, une chaleur torride et une grande misere. Nous ne croiserons cette semaine aucun etranger (les rares touristes s’aventurant dans le Sud passent sur une autre piste en 4X4, trop ensablee pour les velos). Du coup, nous vivons a la mode malgache en terme d’hebergement (parfois rimant avec insalubrite et cafard) et d’alimentation (finalement copieuse car a base de riz). L’arrivee sur Fort-Dauphin a ete fortement appreciee, la fatigue commencant a se faire ressentir apres des etapes de plus de 100 kilometres par jour, mais nous ne regrettons pas du tout l’experience.

Classé dans: — Isabelle & Jérôme @ 4:40 pm

22/7/2005

Mada : Premières impressions

Déjà 15 jours de périple à Madagascar. Nous trouvons enfin un moment pour donner des nouvelles. Nous allons tous les deux très bien. Après avoir connu une première péripétie à l’aéroport de Antanarivo (Nos vélos, précieusement emballés dans des superbes cartons à Roissy, sont arrivés en pièces détachées à Madagascar). Nous arrivons tout de même à réunir toutes nos affaires et sommes attendus dans notre premier hotel près de l’aéroport. Après une journée de récupération à Ivato, nous prenons enfin la longue route RN7 vers le sud. Les premières journées sont superbes. Sur les Hauts-Plateaux, de nombreuses terres agricoles, beaucoup de villages, beaucoup d’enfants qui accourent sur le bord de la route pour nous saluer. Les nuits sont beaucoup plus fraîches que prévu, mais nous tenons le coup. Il faut attendre les premières grandes villes pour que nous croisions nos premiers touristes occidentaux, et la misère et la mendicité dans les rues. La route se fait de plus en plus dure, et c’est au sommet d’une très grosse côte que nous avons la première grosse surprise du voyage : Une nouvelle réserve (qui n’était pas indiquée dans nos guides) où nous recevons un accueil très chaleureux et où nous allons tomber nez à nez pour la première fois avec des lémuriens. Il nous faudra l’aide de pisteurs et un peu de marche à pieds dans la forêt pour les voir s’agiter allègrement dans les arbres. Une très belle expérience, par la suite, nous aurons d’autres occasions pour rencontrer ces petites bêtes attachantes. Retour sur nos vélos, et la première grosse casse. Le dérailleur d’Isabelle est cassé. Pour moins de trois euros, pièces et main d’oeuvre (2 heures et tout le village à nos côtés), nous aurons une réparation, certes de fortune (nous le remplacerons par du matos un peu plus professionel à notre retour), mais au moins, on peut passer nos vitesses. Nous arrivons à notre deuxième grosse expérience. Après une dizaine de jours de vélos, de nombreux coups de pédales, beaucoup de transpiration, et surtout plus de 400 kms parcourus (dont beaucoup de dénivelés), nous nous arrêtons au Parc National de l’Andrigieta. De là, nous partons pour une expédition de 3 jours pour atteindre un des points culminants de l’île : le pic Bobby. Quand je dis expédition, je ne cache pas mes mots. Nous sommes accompagnés de 2 guides et 3 porteurs (légèrement portés sur la boisson), mais ce n’est rien à côté d’un groupe de 5 personnes de chez Alibert, accompagnés par 16 personnes dont un cuisinier professionnel. Du coup, en plus d’une ballade très agréable, nous voyageons en première classe : Nombreuses collations, une poule mangée à notre second dîner, une tente avec matelas renforcé et couvertures chaudes … Plein de souvenirs dans la tête, et puis la marche à pieds nous change du vélo. Nous décidons après une nouvelle étape de 125 km (dont 25 de pistes), de couper les derniers kilomètres vers Tuléar par un taxi-brousse. Réveil à 3 heures du matin et sensations garanties. Nous arriverons 320 kilomètres plus loin (et 7 heures de voyage) dans la grande ville du Sud-Ouest. De là, nous repartons en vélo, sur des pistes à la fois chaotiques et sablonneuses pour rejoindre les belles plages d’Ifaty. De là, 2 jours de farniente, avec une superbe ballade en pirogue pour taquiner avec masque et tuba les superbes poissons du corail malgache, et pour savourer trois énormes poissons sous un palmier au bord de la plage (la vie est vraiement trop injuste). Je tiens à rassurer tout le monde, ici, il n’est pas de soir où je puisse savourer mes 65 cl de THB (Three Horses Beer). Par ailleurs, pour les anciens de Template, ici toutes les stations Total sont aux nouvelles couleurs. Mais promis, je ne pense plus à la maintenance des stations service. Côté santé, aucun pépin pour le moment, Isabelle s’est pourtant fait la meilleur amie des moustiques. Nous repartons demain sur les pistes très difficiles du Sud, en espèrant rejoindre en une semaine Fort-Dauphin sur la côte Est. Vue la difficulté d’une telle expédition, si vous ne recevez aucunes nouvelles dans 10 jours, considérez nous comme définitivement perdus (Stoppés dans un village en récupérant avec des tonneaux de THB). Blague à part, la magie Internet a du mal à décoller ici et nous avons très peu de possibilités de se connecter sur la toile (en plus, on est un peu flemmard). A bientôt …

Classé dans: — Isabelle & Jérôme @ 2:01 pm

3/7/2005

Itinéraire…

Partir…
S’éloigner des murs gris, abandonner ses habitudes… Telle est l’ambition du routard. Il veut se découvrir et découvrir le monde en voyageant que ce soit le temps des vacances ou le temps d’une vie.
Le Guide du Routard, 1ère édition.

Pour rappel, les dates en bref : de juillet 2005 à juillet 2006

  • Madagascar : 6 juillet - 6 septembre 2005
  • Inde : septembre/octobre 2005
  • Népal : octobre 2005
  • Myanmar : novembre 2005
  • Thaïlande, Laos, Vietnam, Cambodge : novembre 2005 - janvier 2006
  • Nouvelle-Zélande : janvier - février 2006
  • Polynésie Française : février 2006
  • Chili, Argentine : mars - avril 2006
  • Bolivie, Pérou : avril - mai 2006
  • Equateur : juin 2006
  • Réalisé avec WordPress, Textes © kaleidoglobe.free.fr